🦝 Salman Al Farisi Abu Darda I can not participate now in discussion - it is very occupied. I will be released - I will necessarily express the opinion on this question.

MohammadAbul Hafidz, Dihliz Zuna'i, dan Munifatunnufus dalam Al-Quran Hadis (2014) menyebutkan tiga ketentuan tersebut, mencakup (1) didasari keikhlasan karena Allah semata, (2) sesuai tuntunan Rasulullah SAW, dan (3) berdasarkan ilmu (bukan sekadar ikut-ikutan).

Pour clore cette magnifique saga qui nous a permis de redécouvrir l’histoire si intense de quelques-uns des Compagnons Abu Bakr, Bilal ibn Rabah, Mus’ab ibm Umayr et Umar ibn al-Khattab du Prophète salaLlahu alayhi wa salam, nous partons aujourd’hui à la rencontre de Salman Al Farîsî ou Salman le Perse dont le cheminement est une incessante quête de vérité et qui est pour nous un exemple de dévotion, de courage, d’intelligence et d’ascétisme. Originaire de Perse et issu d’une famille aisée dont le culte était voué aux mages adorateurs du feu, la religion de Zoroastre, il était fervent pratiquant. Cependant, en découvrant le culte chrétien, touché par les prières et les chants, il conclut que cette religion était meilleure que la sienne. Séquestré par son père lorsque celui-ci apprit la nouvelle foi de son fils, Salman parvint à s’enfuir en Syrie et entama une longue quête de vérité et d’apprentissage. Il étudia auprès de plusieurs prêtres et les accompagna jusqu’à leur mort jusqu’à ce que l’un d’eux lui révèle la venue imminente d’un prophète prêchant la religion d’Ibrahim, alayhi salat wa salam, sortant du pays des Arabes et possédant deux signes particuliers permettant de le reconnaitre il refuse les aumônes mais accepte les cadeaux et entre ses épaules se trouve le sceau de la prophétie. Il décida alors de se rendre en Arabie en accompagnant un convoi de marchands mais, trahi en cours de route, il fut vendu comme esclave puis revendu à un homme possédant une palmeraie à Yathrib Médine. Il entendit alors parler de cet homme, suivi par de nombreux autres, qui se déclarait Prophète d’Allah ta’Ala et se rendit à Qubâ où il était établi. Dans un récit, Salman décrit lui-même la manière dont il s’adressa à lui J’ai appris que tu étais un saint homme et que tes compagnons sont étrangers à cette ville et ont besoin d’aide. Voici de la nourriture que j’envisageais de donner en aumône, je crois que vous en avez besoin plus que d’autres. ». Le Prophète avança le sac de dattes vers ses compagnons radi’Allah anhum et leur dit Mangez.», quant à lui, il n’y toucha pas. Voyant cela, je me dis Voilà un premier signe. ». A son arrivée à Médine, je revins le voir en apportant avec moi un autre sac de dattes et je lui dis J’ai remarqué que tu ne mangeais pas les aumônes. C’est pourquoi je t’ai apporté ces dattes comme cadeau. » Cette fois-ci il en mangea et réjoui par ce geste je pensais Par Dieu, il mange ce qui lui est offert comme cadeau. C’est le deuxième signe. ». Quelque temps après, je revins le voir alors qu’il était à Al-Baqî` pour l’enterrement d’un de ses compagnons. Je le vis assis, drapé de deux manteaux, au milieu de ses compagnons. Je me mis alors à regarder le haut de son dos, dans l’espoir de voir le sceau de la prophétie, ce qui attira son attention. Devinant ma pensée, il ôta l’un de ses manteaux, et je vis entre ses épaules le fameux sceau de la prophétie, tel que décrit par le prêtre. Je l’entourai de mes bras et l’embrassai en pleurant. Il m’invita à m’asseoir et me demanda de lui relater les péripéties vécues avant ma venue à Médine. À la fin de mon récit, il me souhaita la bienvenue et m’accueillit parmi ses compagnons. ». Dès ce jour, il devint un élève assidu des cercles d’enseignement du Messager d’Allah et quelques temps plus tard, le Prophète et ses compagnons l’aidèrent à s’affranchir de son statut d’esclave. Sa quête effrénée de Vérité s’acheva car il venait de trouver son maître spirituel, celui qu’il cherchait depuis si longtemps, depuis qu’il avait tout abandonné dans ce bas monde pour écouter les appels de la vérité et suivre la quête de son âme. Il devint alors inséparable d’Abû Ad-Darda, un autre disciple et grand ascète, et ils partagèrent une vie sobre, détachés des plaisirs de ce bas monde. Il fut l’un des compagnons les plus proches du Prophète et fera partie des Ahl as-suffa », ces pauvres parmi les musulmans qui passaient leur temps dans l’adoration du Seigneur. Un jour, alors que les Ansârs et les Muhâjirîn revendiquaient les uns et les autres l’appartenance de Salmân à leur communauté, le Messager de Dieu leur dit Salmân fait partie de notre famille.» Voir Sifât as-safawa d’Ibn al-Jawzî et Tarîkh al-Islâm de Dhahabî. Salman Al-Farîsî fut aussi un homme d’action doté d’une très grande intelligence. Ainsi, lors de la fameuse bataille des tranchées l’expédition des coalisés comme la nomme le Coran, il donnera un sublime aperçu de sa tactique en matière de stratégie militaire, inconnue jusque-là chez les Arabes, et sera la cause de la victoire des musulmans sur plus de 20000 infidèles. Après la mort du Prophète salaLlahu alayhi wa salam, on lui confia le poste de gouverneur d’Al-Madyan dans la province de Perse qu’il connaissait puisqu’il en était originaire mais cette fonction officielle ne lui plaisait pas, lui qui avait appris à mépriser ce bas monde et à ne pas se laisser tenter par ses ornements, mais devant l’insistance de Umar radhiAllahou’anhou il accepta. Malgré son poste de gouverneur, il ne touchait rien de son salaire préférant manger les fruits de son travail et il ne fit rien pour se distinguer des plus modestes il continuait à s’asseoir auprès des autres, la piété et l’ascétisme de cet homme étaient tels qu’il était difficile de le dissocier du plus modeste de ses administrés et sa sagesse lui permit de résister à l’arrogance et à la condescendance dont sont victimes les gens de pouvoir. Sous son gouvernement, la province d’Al-Madyan nouvellement conquise, prospéra et l’islam s’y propagea à grande vitesse. Devenu vieux et s’apprêtant à rejoindre notre précieux Prophète salaLlahu alayhi wa salam il se mit à pleurer. À Sa`d qui lui demandera les raisons de son chagrin, il répondra Par Dieu, je ne pleure pas parce que je crains la mort ou parce que j’aime la vie. Mais je me suis souvenu de ce que le Messager nous a dit Que chacun de vous prenne de la vie ce que prend un voyageur comme provisions. » Or, me voilà entouré de toutes ces richesses ». Sa`d dira Je regardai autour de moi et je ne vis qu’une grande écuelle et un récipient pour les ablutions.». Le jour de sa mort, il pria son épouse de répandre du musc, qu’il gardait précieusement, autour de lui afin d’être prêt à recevoir les créatures ne mangeant pas de nourriture mais aimant le parfum. Il avait quitté sa famille, puis était devenu un précieux compagnon qui aida au triomphe de l’Islam et à son expansion. Il mourut simplement et sobrement, apaisé d’avoir trouvé La Vérité. Ô toi, âme apaisée, retourne vers ton Seigneur, satisfaite et agréée. Entre donc parmi Mes serviteurs, et entre dans mon paradis.» {Sourate 90 – Versets 27 à 30} *************************QUIZZ SUR LES COMPAGNONS****************************** 1 – De quelle origine était Salman? 2- Quels sont les deux signes, qui lui furent révélés par un prêtre, permettant de reconnaître le prophète venu de chez les Arabes ? 3- Véritable ascète, comment nommait-on les pauvres parmi les musulmans, détachés de l’amour des biens matériels, qui passaient leur temps dans l’adoration? 4- Dans quelle province fut-il nommé gouverneur ? ****************************************************************************************** Nos 2 gagnantes d’hier sont Rachida et Sihame ! Félicitations à elles = ^{Selainitu, Salman al-Farisi pun sangat paham tentang arti persahabatan sejati. Tak ada sedikit pun rasa benci dalam dirinya kepada Abu Darda. Salman justru ikut bahagia saat sahabatnya berbahagia. Betapa banyak kasus persahabatan yang rusak karena cinta. Namun Salman tetap menjaga kokoh persahabatan tersebut sampai akhir hayatnya.} Salman al Farisi radhya Allahou anhou est connu sous le nom occidental de Salman le Perse ou Salmân Pâk en persan Salman Le pur. Il fut l’un des premiers musulmans non arabes et l’un des compagnons de Notre prophète Muhammad sallAllahou alayhi wa salam. Salman al Farisi est né dans un pays bercé par le christianisme, il manifeste déjà son envie de chercher les racines de la religion en se rendant dans l’église pour poser des questions très précises. Capturé en tant qu’esclave dans la région de Hijaz, il rencontre peu de temps après le prophète Muhammad sallAllahou alayhi wa salam à Médine. Convaincu par les paroles du Messager, Salman al Farisi décide de se convertir à l’Islam. Ce compagnon considéré comme l’un des plus proches de Notre Messager, se démarquait par sa grande dévotion et sa chasteté, de même que par son savoir, sa sagesse et sa bonne compréhension de la religion. Son statut d’étranger et de pauvre l’avait amené à se rapprocher de plus en plus du Prophète sallAllahou alayhi wa salam qu’il quittait rarement. C’est ainsi que Salman al Farisi fit partie des gens de la Sufa ahl as-suffa, ces pauvres parmi les musulmans qui habitaient une aile de la mosquée et passaient leur temps dans l’adoration du Seigneur. D’ailleurs, le Prophète sallAllahou alayhi wa salam avait déclaré à propos de Salman al Farisi il fait partie de la famille.» Le Prophète sallAllahou alayhi wa salam déclara aussi Allah m’a demandé d’aimer quatre personnes parce que Lui-même les aime.» On lui demanda Et qui sont ces quatre personnes ?» Il répondit Ce sont Ali, Miqdad, Salman et Abou Dharr. » [Rapporté par Ibn Abdoul Barr]. Salman al Farisi radhya Allahou anhou était réputé pour son intelligence en matière de stratégie militaire. Les écoles islamiques divergent sur de nombreux sujets mais concernant le cas du compagnon Salmân al-Farisi radhya Allahou anhou, ils sont unanimes c’était un homme cultivé et sage. Avant même l’avènement de l’Islam, il jouait déjà un rôle crucial auprès de son père qui était aussi le chef de son village. Pour empêcher son fils d’aller en Syrie, il l’enferma convaincu que son fils devait suivre le zoroastrisme, religion de ses ancêtres. Bukhari rapporterait deux traditions qui montrent la considération de Muhammad sallAllahou alayhi wa salam, à l’égard de Salman al Farisi Lorsque nous étions assis avec le Prophète, la sourate Le Vendredi » Surat-al-Juma lui fut révélée. Quand le Prophète récita le verset et Il Allah l’a envoyé Muhammad aussi aux autres que les Arabes … » Coran 62 3 Je dis Qui sont-ils, Ô Messager d’Allah ? » Le Prophète ne répondit pas jusqu’à ce que je répète trois fois. À ce moment Salman était avec nous. Le Messager d’Allah mit sa main sur Salman, disant Si la foi était aux pléiades, même alors certains hommes de ce peuple celui de Salman l’auraient atteint. » Grâce à ce hadith on comprend à quel point Salmân al-Farisi radhya Allahou anhou était affectionné par Notre Messager sallAllahou alayhi wa salam. L’histoire de Salmân al-Farisi radhya Allahou anhou nous rappelle combien le chemin vers la foi peut être semer d’embûches mais le musulman doit faire preuve de courage et de ténacité pour connaître la Vérité.

Salmanal-Farisi is perhaps most famously known for his ingenious plan during the Battle of Khandaq to outsmart the 10,000 strong army of disbelievers by using a technique in warfare not known by the Arabs at that time. 'And seek knowledge from four men: 'Uwaimir Abu Ad-Darda, with Salman Al-Farisi, with 'Abdullah bin Mas'ud, and

Salman al-Farsi is known as the Imam, the Flag of Flags, the Inheritor of Islam, the Wise Judge, the Knowledgeable Scholar, and One of the House of the Prophet . These were all titles the Prophet gave him. He stood fast in the face of extreme difficulties and hardships to carry the Light of Lights and to spread the secrets of hearts to lift people from darkness to light. He was a noble companion of the Prophet . He reported sixty of his sayings. He came from a highly respected Zoroastrian family from a town near Ispahan. One day while passing by a church, he was attracted by the voices of men praying. Drawn by their worship, he ventured in and found it better than the religion of his upbringing. On learning that the religion originated in Syria, he left home, against his father’s wishes, went to Syria and associated himself with a succession of Christian anchorites. He came to know from them the coming of the last Prophet and the signs accompanying his advent. He then traveled to Hijaz where he was seized, sold into slavery, and taken to Madina, where he eventually met the Prophet . When he found in the Prophet the fulfillment of all the signs of which he had been informed by his Christian teachers, he affirmed the testification of faith – Shahada. Servitude prevented Salman from being at the battles of Badr and Uhud. The Apostle helped him gain his release from slavery by planting with his own hand three hundred palm trees and giving him a large piece of gold. Once a free man he took part in every subsequent battle with the Prophet . In Ibn Ishaq’s Sirat Rasul Allah, we find the following in Salman’s account to the Prophet of his journey in search of the true religion “`Asim ibn `Umar ibn Qatada said that he was told that Salman the Persian told the Prophet that his master in Ammuriya told him to go to a certain place in Syria where there was a man who lived between two thickets. Every year as he used to go from one to the other, the sick used to stand in his way and everyone he prayed for was healed. He said, Ask him about this religion which you seek, for he can tell you of it.’ So I went on until I came to the place I had been told of, and I found that people had gathered there with their sick until he came out to them that night passing from one thicket to the other. The people came to him with their sick and everyone he prayed for was healed. They prevented me from getting to him so that I could not approach him until he entered the thicket he was making for, but I took hold of his shoulder. He asked me who I was as he turned to me and I said, God have mercy on you, tell me about the Hanafiya, the religion of Abraham.’ He replied, You are asking about something men do not inquire of today; the time has come near when a prophet will be sent with this religion from the people of the Haram. Go to him, for he will bring you to it.’ Then he went into the thicket. The Prophet said to Salman, If you have told me the truth, you met Jesus the son of Mary.’” In one of the Prophet’s battles called al-Ahzab or al-Khandaq Salman advised the Prophet to dig trenches around Madinah in defense of the city, a suggestion which the Prophet happily accepted. He then went ahead and helped the digging with his own hands. During this excavation, Salman struck upon a rock which he was unable to break. The Prophet took an axe and hit it. The first strike brought forth a spark. He then hit it a second time and brought forth a second spark. He then struck for the third time and brought forth a third spark. He then asked Salman , ” O Salman, did you see those sparks?” Salman replied, “Yes, O Prophet, indeed I did.” The Prophet said, “The first spark gave me a vision in which Allah has opened Yemen for me. With the second spark, Allah opened Sham and al-Maghreb the West. And with the third one, Allah opened for me the East.” Salman reported that the Prophet said “Nothing but supplication averts the decree, and nothing but righteousness increases life,” and “Your Lord is munificent and generous, and is ashamed to turn away empty the hands of a servant when he raises them to him.” Tirmidhi transmitted them. At-Tabari recounts that in the year 16 the Muslim army turned to the Persian front. In order to confront the Persian king at one point the Muslim army found itself on the opposite bank of the great Tigris River. The commander of the army, Sa`d Ibn Abi Waqqas, following a dream, ordered the entire army to plunge into the rushing river. Many people were afraid and hung back. Sa`d, with Salman by his side, prayed first “May Allah grant us victory and defeat His enemy.” Then Salman prayed “Islam generates good fortune. By Allah, crossing rivers has become as easy for the Muslims as crossing deserts. By Him in whose hand lies Salman’s soul, may the soldiers emerge from the water in the same numbers in which they entered it.” Sa`d and Salman then plunged into the Tigris. It is reported that the river was covered with horses and men. The horses swam and when they tired the river floor seemed to rise up and support them until they regained their breath. To some it seemed that the horses rode effortlessly on the waves. They emerged on the other bank, as Salman had prayed, having lost nothing from their equipment but one tin cup, and no one having drowned. They went on to take the Persian capital. Salman acted as spokesman and said to the conquered Persians “I have the same origin as you. I shall be compassionate toward you. You have three options. You may embrace Islam, then you will be our brethren and you will have the same privileges and obligations as we. Or you may pay the Jizyah tax and we will govern you fairly. Or we will declare war on you.” The Persians, having witnessed the miraculous crossing of the Muslim army, accepted the second alternative. Salman al-Farsi was eventually appointed governor of that region. He was the commander of 30,000 Muslim troops. Yet, he was very humble. He lived from his own manual labor. He did not own a house, but instead rested under the shade of trees. He used to say that he was surprised to observe so many people spending all their life for the lower world, without a thought for the inevitable death which will take them from the world one day. Salman was a very strict and just man. Among some spoils which were distributed one day was cloth out of which each companion had one piece of clothing cut. One day `Umar got up to speak and said “Lower your voices so that I may hear you.” He was wearing two pieces of that cloth. Salman said, “By God, we will not hear you, because you prefer yourself to your people.” “How is that?” asked Umar. He said “You are wearing two pieces of cloth and everyone else is wearing only one.” `Umar called out “O Abdullah!” No one answered him. He said again, “O Abdullah ibn `Umar!” Abdullah, his son called out “At your service!” `Umar said, “I ask you by God, don’t you say that the second piece is yours?” Abdullah said “Yes.” Salman said “Now we shall hear you.” At night Salman would begin to pray. If he got tired, he would start making dhikr by tongue. When his tongue would get tired, he would contemplate and meditate on Allah’s power and greatness in creation. He would then say to himself, “O my ego, you took your rest, now get up and pray.” Then he would make dhikr again, then meditate, and so forth all night long. Bukhai relates two hadiths which show the Prophet’s consideration for Salman Abu Huraira relates While we were sitting with the Holy Prophet , Surat al-Jumu`a was revealed to him. When the Prophet recited the verse, “And He Allah has sent him Muhammad also to others than the Arabs…” [623] I said, “Who are they, O Allah’s Apostle?” The Prophet did not reply till I repeated my question thrice. At that time Salman al-Farisi was with us. Allah’s Apostle put his hand on Salman, saying “If faith were at ath-Thurayya the Pleiades, very distant stars, even then some men from these people Salman’s folk would attain it.” Abu Juhayfa relates The Prophet made a bond of brotherhood between Salman and Abu ad-Darda al-Ansari . Salman paid a visit to Abu ad-Darda’ and found Um ad-Darda’ his wife dressed in shabby clothes. He asked her why she was in that state. She said, “Your brother Abu ad-Darda’ is not interested in the luxuries of this world.” In the meantime Abu ad-Darda’ came and prepared a meal for Salman. Salman requested Abu ad-Darda’ to eat with him, but Abu ad-Darda’ said, “I am fasting.” Salman said, “I am not going to eat unless you eat.” So Abu ad-Darda’ ate with Salman. When it was night and a part of the night has passed, Abu ad-Darda’ got up to offer the night prayer, but Salman told him to sleep and Abu ad-Darda slept. After some time Abu ad-Darda’ again got up but Salman told him to sleep. When it was the last hours of the night, Salman told him to get up then, and both of them offered the prayer. Salman told Abu ad-Darda’, “Your Lord has a right on you, your soul has a right on you, and your family has a right on you. Abu ad-Darda’ came to the Prophet and narrated the whole story. The Prophet said, “Salman has spoken the truth.” From His Sayings Sulaiman al-Teemi narrated that Salman al-Farsi said Nimrod starved out two lions, and then released them to devour God’s bosom friend, Abraham. But when the lions reached him and by God’s leave, they stood before him in reverence, and they both lovingly licked him all over and prostrated themselves at his feet. Abi al-Bakhtari narrated that Salman al-Farsi had a female servant of Persian descent and he once spoke to her in her Persian tongue saying, “Prostrate yourself even once before God.” She replied with disdain, “I do not prostrate to anyone!” Someone asked Salman, “O Abu Abd Allah, what would she benefit from a single prostration?” Salman replied, “Each link is an important part of a chain, and perhaps should this woman accept to offer a single prostration before God Almighty, then this may lead her to regularly engage in offering the five times prayers. In fact, one who has a share in the blessings of Islam is not equal to someone who has naught of it.” Sulaiman al-Teemi narrated that Salman al-Farsi said If a man spends his entire night freeing slaves from bondage and another man spends his night reading the Quran and invoking the remembrance of God dhikr, the second man would be in a higher state. His Passing Beloved Salman al-Farsi passed away in 33 AH/654 CE during the reign of Uthman . He passed his secret on to Abu Bakr’s grandson, Imam Abu Abd ar-Rahman Qasim ibn Muhammad ibn Abu Bakr as-Siddiq ق. AbuJuhayfah berkata,"Nabi saw memnbuat ikatan persaudaran antara Salman dengan Abu al Darda al-Anshari. Suatu saat Salman berkunjung kepada Abu Darda dan mendapat Ummu Abu Darda berpakaian lusuh, ia bertanya mengapa Ummu Darda seperti itu, ia menjawab saudaramu Abu ad-Darda tidak tertarik dengan kemewahan duniawi. Sementara itu Abu ad-Darda NasihatSalman Al-Farisi kepada Abu Darda: Penuhilah Hak Masing-masing secara Seimbang. SALMAN Al-Farisi, sahabat yang terkenal dengan idenya untuk membuat parit dalam Perang Khandaq dipersaudarakan dengan Abu Al-Darda' dari suku Khazraj, oleh Rasulullah. Sebelum memeluk Islam, Abu Al-Darda' adalah seorang pedagang.

Salmanal Farisi (R) and Abu Darda' (R) were praised by the Prophet (S) for their wisdom and knowledge. They used this knowledge to increase in their own devotion to Allah and to counsel one another towards good. Story. Kids would enjoy learning the story of Salman al Farisi and how he came to Islam.

DariStabit Al-Bunani bahwa Abu Darda' pergi bersama salman al-farisi yang berniat untuk melamar wanita dari bani Laits. Sesampainya di rumah yang dituju, kedunya pun masuk, lantas Abu Darda' menyebutkan keutamaan, kesilaman dan perlombaan Salman dalam menerima dakwah Islam. Abu Darda' juga menyebutkan bahwa Salman datang hendak melamar

Salmanal-Farisi pada ia mengawali hidupnya sebagai seorang bangsawan dari Persia, Ia menjadi pahlawan dengan ide membuat parit dalam upaya melindungi kota Madinah dalam pertempuran khandaq. Setelah meninggalnya Nabi Muhammad, ia dikirim untuk menjadi gubernur di daerah kelahirannya, hingga ia wafat. Sebelum Islam datang, Salman memeluk agama

Salmantold Abu Ad-Darda', "Your Lord has a right on you, your soul has a right on you, and your family has a right on you; so you should give the rights of all those who has a right on you." Abu Ad-Darda' came to the Prophet and narrated the whole story. The Prophet said, "Salman has spoken the truth." خلق الله الملائكة .

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